1- Ne pas se tromper de véhicule
Cela peut paraitre contre-intuitif mais il n’est pas rare que les professionnels se trompent de niveau de finition lors d’une reprise ou d’un achat externe. Se fier aux dires du client et même aux factures d’achat est parfois délicat. C’est pour cela que beaucoup de groupes procèdent à un décodage de l’immatriculation puis du VIN. Présent dans des outils comme autobizCarcheck, ce service permet d’obtenir en quelques secondes et pour moins de 2 euros la version exacte définie par la marque lors de la construction du véhicule. Une précision qui évite des soucis de surpricing et des conflits futurs auprès des acquéreurs.
2- Industrialiser l’expertise…
La remise en état est au centre de la chaine de valeur du VO. Pourtant je vois encore des vendeurs qui donnent des prix des reprise sans voir le véhicule ou après un tour de 2 minutes pour ressaisir à la main d’éventuels frais dans un logiciel. Cette pratique est bien différente chez les meilleurs acteurs du marché. Ils utilisent à la fois des applications structurantes comme autobizCarcheck et s’aident de l’IA. Concernant autobiz Carcheck, on parle d’un parcours d’expertise de 8 à 10 minutes, structuré autour de dizaines de questions qui évitent la plupart des problèmes mécanique ou de carrosserie. Et avec une intelligence artificielle comme Noa, vous avez la possibilité de vous assurer qu’aucun frais de carrosserie n’a été oublié.
3- … et les risques administratifs
Je me souviendrais toujours de mon premier client RVO qui m’expliquait que dans son métier les risques administratifs étaient aussi importants que ceux liés à la remise en état. Là-dessus, seule une démarche structurée évite les risques ou limitent le recours à des heures de contrôle par les secrétaires commerciales. Souvent, plus que pour la partie expertise ou pricing, nos clients choisissent autobizCarcheck pour sa capacité à digitaliser les documents administratifs, les lire par une IA puis interroger automatiquement Histovec, le SIV, les banques…
4- Coller au marché…
Alors que les prix sont très dynamiques et que les durées de vente tendent à s’allonger, il est vital de donner une valeur de reprise qui se base sur le marché. Dans autobizCarcheck par exemple, si un VO est destiné à être revendu à particulier, le professionnel peut estimer son prix de revente dès sa première estimation via l’analyse du jour des VO de même version, année et kilométrage en vente par ses concurrents via autobizMarket. De plus il a la possibilité de prévoir cette valeur dans le futur selon la date d’entrée en stock prévisionnelle du VO et sa rotation estimée.
5- … et à ses marchands
Si la voiture est destinée à un canal B2B, les professionnels sont parfois déçus des couvertures marchands ou enchéristes qu’ils reçoivent. L’expérience que j’ai pu voir dans plusieurs groupes est que seule une démarche structurée et qualitative permet d’optimiser ce canal. C’est exactement pour cela que dans autobizCarcheck les VO sont expertisés avec le même parcours qu’ils soient destinés à particulier ou à professionnels. Ainsi, toutes les informations et photos récoltées sont transmises en automatique aux marchands ou enchéristes. Cette qualité d’information permet à l’acheteur final de mieux appréhender le véhicule. Il peut par la même réduire son risque et donc proposer de bien meilleures couvertures.